Marion Orel Plasticienne, France POLLEN Le Pont Cisternes / Ruisseau La Clamouze, Egliseneuve-d’Entraigues Cette sculpture s’inspire de l’aspect de certains pollens présents dans la nature à l’échelle microscopique. Elle est implantée à la surface d’un ruisseau, comme un grain de pollen qui aurait été déposé par le vent. Hauteur : 2 m / Longueur : 2 m Accès à l’oeuvre Depuis Besse ou Picherande emprunter la D978, suivre la direction d’Egliseneuve d’Entraigues. S’arrêter au niveau de la maison au Pont de Cisternes. Se garer au parking Horizons, le ruisseau se trouve à droite de la route. |
Un second grain de pollen a été déposé en 2022 dans le parc du chateau d'Epernay pour le festival Vign'Art. Musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale13 Av. de Champagne, 51200 Épernay |
Jean Pierre Baudu scénographe, France La Bataille De Ballon: Le 22 novembre 845 le Breton Nominoë, comte de Vannes et gouverneur de Bretagne, bat les troupes du roi Carolingien Charles le Chauve à Ballon près de Redon. Pour le roi cette défaite marque l'échec de la conquête de la Bretagne. Celle-ci deviendra bientôt indépendante du royaume et le restera pendant près de 7 siècles. L'Association pour la Fête de la victoire de Ballon (https://bretagne845.wordpress.com/) (www.facebook.com/poellgorgouelballon) et le scénographe Jean Pierre Baudu (http://www.fouetcocher.com/) créent un monument relatant cet acte fondateur de la Bretagne et s'appuient sur les expériences d'Acianov Création dans la pixellisation et la reproduction d'images sur tôles. La sculpture de 3 m de diamètre a été installée au cloitre de Redon jusqu'au 26 mai 2018 puis a trouvé place sur son site définitf de Ballon (nom d'un petit monastère local). |
Dan Graham sculpteur, USA Dan Graham expose son oeuvre Kaleidoscope/Doubled sur le parvis de la Médiathèque Michel-Crépeau. Cette oeuvre, à la fois sculpture et architecture, machine à voir et installation ludique, est le fruit d'une commande publique de la ville de La Rochelle. À la fois photographe, vidéaste, sculpteur et critique, l’artiste Dan Graham questionne les rapports entre l’art et la ville. L’architecture est au centre de ses préoccupations pour sa capacité à révéler le sujet social. Son oeuvre traverse le temps et les courants artistiques de l’art conceptuel jusqu’au body art et au film expérimental. En marge de cette réalisation, une exposition est présentée simultanément au Musée des Beaux–Arts et à l’Espace Art Contemporain. Les procédés que Dan Graham utilise dans son travail depuis les années 60 s’ouvrent aux champs de l’architecture et du design. Ses pavillons facilitent l’instauration d’une relation de respect et de dialogue: ici avec le vieux port de La Rochelle et l’architecture contemporaine du quartier. Sa réflexion témoigne d’un grand intérêt pour les conceptions les plus récentes du théâtre, du cinéma et des musiques amplifiées. Dan Graham propose une oeuvre à la fois sculpturale et architecturale: «une machine optique». Le pavillon associe la sculpture minimale des formes géométriques simples à un mode de production industriel. L’architecture, pour sa capacité à révéler le «sujet social» est au centre des préoccupations de l’artiste. Il utilise de manière récurrente dans son travail des parois réfléchissantes qui démultiplient les images, permettant au passant de se voir et de voir les autres, dans une image neuve et toujours renouvelée du paysage urbain. Le pavillon de verre s’inscrit dans une réflexion sur l’espace et les oppositions entre intérieur et extérieur, opacité et transparence, espace public et espace privé. Le spectateur est invité à déambuler, traverser et «expérimenter» l’oeuvre. |